J'ai parcouru l'article, et je suis pas convaincu par ça:
Citation :
La principale aide indirecte, la TVA à taux réduit de 2,10% pour la presse papier, est efficace car elle permet de réduire le prix des journaux et donc de faciliter l’acte d’achat par les lecteurs. Elle est équitable, car elle s’applique, sans distinction, à tous les éditeurs.
Son coût est relativement faible et parfaitement prévisible. Il est évalué par la Direction générale des médias et des industries culturelles (DGMIC) à 195 millions d’euros par an, un montant représentant environ la moitié des aides directes du ministère de la Culture.
L'idée de la TVA n'est pas mauvaise en soit, mais ça se repose sur la consommation encore une fois, et qui dit consommation dit "séduction" pour vendre, et donc un traitement tronqué de l'information en faveur de l'attrait qu'elle peut provoquer chez la majorité.
Moi j'irais plus loin, mutualisation du service de presse pour le rendre totalement indépendant. En gros appliquer le régime des retraites, et de la couverture maladie via les cotisations généralisé. Du coup les journalistes n'en n'ont rien à faire de vendre de l'info, puisqu'ils sont payer quoi qu'il arrive, et eux même vont produire de la valeur économique par leur action économique sur la société (ils vont générer du dynamisme économique par leur travaux d'investigation, et donc solliciter d'autres acteurs sociaux qui vont à leur tour générer de la valeur économique, etc).
Quand je souhaite parler de l'argent, j'entend d'abord lui réattribuer sa véritable signification, c'est à dire la transformation en monnaie de la valeur des travaux produits à l'échelle nationale par les humains dans le but de faciliter les échanges de bien et service (fonction émancipatrice). Rien à voir avec le capitalisme qui dit que l'argent porte une valeur définie par un capital lui même mis en valeur par des travailleurs qui gonflent le capital. Ce capital sert à nourrir des actionnaires qui sont "propriétaire de ce capital" (ça sous entend propriétaire indirectement de la valeur produite par des travailleurs, c'est quoi le délire?). En effet le capital étant une somme virtuelle de monnaie, il ne repose que sur la spéculation de la valeur que produisent les humains qui travaille (fonction asservissante) et qui spolie obligatoirement cette valeur en attribuant une partie de la valeur produite par les travailleurs au capital, cette valeur venant gonfler une hypothétique valeur monnayable, mais tout ceci est virtuelle !!!! (une pure hérésie économique).
L'argent n'est pas statique, l'argent circule, de ce fait, la propriété de monnaie virtuelle engendre un paradoxe qui coûte aux travailleurs la valeur économique qu'ils produisent juste pour maintenir l'illusion. C'est tellement vrai que si on décide tous de retirer nos sous de la banque, la baudruche se dégonfle, la réalité s'impose alors à la virtualité.
Le but est claire, le propriétaire du capital, en réalité est propriétaire de la valeur que produisent les travailleurs, donc une main mise sur la production de la valeur qui rappel le maître et l'esclave. Depuis qu'on sait réfléchir, on a compris grâce à Molière que c'est le valet qui nourrie le maître, les esclaves produisent la richesse, et une minorité de parasites profite et vit sur le travail d'autrui. Ce chantage qui raconte que c'est nos maîtres qui engendre de la valeur économique et donc du travail n'est que pure fiction pour mieux nous conditionner dans nos rôles de mules. Et l'argent a été dévoyé et pervertie à un point qu'on en devienne dépendant, alors qu'à la base c'était pour faciliter nos échanges, et pour cela on se devait d'attribuer une valeur économique à tout nos travaux. Le capitalisme à arnaqué la monnaie en rendant la monnaie monnayable, en gros tu achètes de l'argent aujourd'hui pour le revendre plus cher dans le futur ???? (principe des actions). Mais qu'est ce que tu as produit?????? Tu as juste parasité le travail d'autrui.
Vous allez me dire, oui mais faut investir? Oui, mais il y a un moyen plus sains et propre, ça s'appel la mutualisation comme ce que j'ai évoqué pour la presse. Au lieu de payer de façon occulte des actionnaires, qui vont certes investir, mais garder une partie pour eux juste parce qu'ils avaient de l'argent, ils n'ont rien produit, on va tout simplement mutualiser cet argent (on sait comment le calculé), et l'associé à une caisse de cotisation, tout comme pour les hôpitaux, et les retraites, et investir ainsi là ou ON VEUT, pas là ou les actionnaires décident de le faire, pour répéter en boucle leur modèle pervers qui sucent la valeur économique qu'ils ne produisent JAMAIS.
Désolé, j'ai dérapé :/
Je voulais juste expliquer comment je voyais l'argent de façon pragmatique, et comment il est aux yeux du capitalisme. !d'un coté c'est un outil émancipateur, pour faciliter les échanges, de l'autre c'est un outils d'asservissement par le besoin, l'argent est un besoin, alors que le besoin est le travail (avec du sens, pas le travail imposé par le besoin d'argent justement).